
Allemagne
Casque Stahlhelm 35 "Ausschußkalotte"
Fiche
- Dénomination : Stahlhelm 35 Ausschußkalotte (coque rejetée).
- Dénominations "collectionneurs" : Casques Luftschutz M35, M40 et M42 torés (anglais = beaded ; allemand = mit Wulst).
- Destiné à une utilisation civile, principalement Luftschutz.
- Coiffe : en cuir ou en toile sur un cerclage en carton, fixé à la coque par 3 rivets.
- Jugulaire : en cuir ou matière plastique translucide, en deux parties avec boucle à un ardillon.
- Insignes : décalcomanies Luftschutz ou Polizei.
- Caractéristiques : un tore (anglais = bead ; allemand = Wulst) fait le tour de la bombe.
- Fabriqué à partir de 1935.
- Distribué à partir de 1935.
- Pays d'origine : Allemagne.
- Période d'utilisation : 1935 à 1945.
- Matériaux : acier au nickel chrome manganèse, puis au manganèse silicium à/c de 1940.
- Poids : de 800 à 1100 g suivant la taille.
- Taille : 60, 62, 64, 66, et 68 (cm de circonférence de bombe).
- Couleur : bleu foncé mat (dunkelblaumatt RAL 33), gris moyen lisse puis fin 1944, gris-bronze satiné. Le noir peut se trouver.

SH35.

SH35 (M 40).

SH35 (M 40).

SH35 (M 42).
Historique
La Deutscher Luftschutzverband (Ligue de protection aérienne allemande) est créée à la fin de 1932. Cette organisation bénévole est conçue pour assurer la protection civile dans les grandes villes, lors des raids aériens. |
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La Luftschutz a recours aux casques de surplus : casques de pompiers périmés, casques de la première guerre mondiale, casques SH35 déclassés, mais aussi aux casques capturés (belges : Adrian modèle 31, français : Adrian modèle 26, hollandais : modèle 27 et 34, polonais : Wz 31, russes : Ssh 39 et 40 et tchèques : Vz 32).
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Les casques réutilisés par la "Luftschutz" ! |
La question d'un casque spécifique pour la LS n'est abordé que le 26 septembre 1938 dans une instruction de l'Oberbefehlshaber der Luftwaffe (ObdL). La nécessité de ne pas entraver la fabrication des casques SH35 destinés à la Wehrmacht et le manque d'acier, amène à créer un casque universel et léger. Son prix de revient est sérieusement étudié car il est entendu que les membres de la Luftschutz acquièrent leurs casques sur leurs deniers.
Ce casque prend la désignation de Luftschutzhelm M 38. Il est surnommé "Gladiateur" à cause de sa ressemblance avec les casques utilisés dans les arènes de la Rome antique.
Un Hoheitsabzeichen spécifique est créé pour l'occasion. Il remplace l'insigne de la RLB à l'avant des casques.
Les membres du LSW et du SHD ne sont pas primitivement destinataires de ce nouveau casque. Les présentations des nouveaux uniformes de 1940-1941 réattribuent cependant le Gladiateur au SHD I. Ordnung (unités fixes de 1er échelon) et au LSW. Par contre les photos montrent les détachements motorisés du SHD coiffés de casque SH35 "normaux" et très souvent de casques à base de Ausschußkalotten (coques rejetés) des trois types de SH35. Ces coques sont reconnaissables au tore mouluré au bas de la bombe, indiquant leur inaptitude au combat.
En juin 1942, les unités motorisées du SHD sont transférées à la Luftwaffe où elles reçoivent le SH35 classique.
Les unités fixes de 1er échelon (I.Ordnung) du SHD sont quant à elles, transférées à la même date, à l'Ordnung Polizei sous le nom de Police de protection aérienne : Luftschutzpolizei (LSP). Son but était d'organiser et de contrôler les activités liées à la défense aérienne dans toute l'Allemagne. Himmler lui ordonne de supprimer sur les casques, le Hoheitsabzeichen de la LS et d'arborer les insignes de la Feuerpolizei. Restent donc au SHD les unités fixes des II. et III.Ordnung.







Constitution
La coque :
![]() Vue de profil. |
![]() Vue de face. |
![]() Vue de dos. |
![]() Vue de l'intérieur de la coque et du tore. |
Contrôle des coques de SH35.
Un contrôle de qualité systématique est effectué, dans chaque usine de fabrication des Stahlhelme, par des représentants du Bureau des approvisionnements (Beschaffungsamt) du ministère de la guerre (Reichskriegsministerium). Il est réalisé en trois étapes sur les coques nues avant peinture, par batch de 100 coques :
1. Test balistique : Une coque, choisie au hasard dans le batch, est soumise à des tirs à 5 mètres, sous quatre angles différents. On utilise une munition spéciale de 11 mm, chargée à 1 gramme de poudre noire, tirée par un antique Mauser 1871/84. L'enfoncement doit être au maximum de 3 à 5 mm. Dans le cas contraire, trois nouvelles coques du même batch sont testées et si l'une d'elles ne répond pas aux critères de résistance à l'impact, toutes les coques du batch sont déclarées "coques rejetées" (Ausschußkalotten).
2. Examen extérieur de la structure des coques : Il consiste en la recherche de rides, de bosses, de fissures, d'éruptions, de cloques, d'oxydations, de scories. Les batches incriminés sont rejetés de la production.
3. Examen des dimensions et du poids : L'épaisseur de l'acier de la coque avant peinture doit être de 1,25 mm en moyenne. Si l'épaisseur de l'acier a été mesurée en un point de la coque, en dessous de 1,12 mm, les lots incriminés sont rejetés de la production.
De même, le poids standard de la coque avant peinture a été fixé par taille. Par exemple, une coque de taille 64 non peinte doit avoir un poids de 1100 grammes, la tolérance maximale admissible étant de -70 à +75 grammes. Si la tolérance est dépassée, les batches incriminés sont rejetés de la production.
![]() Banc de tir. |
![]() Examen visuel de l'impact. |
![]() Vérification des côtes. |
A l'origine, il était prévu de mettre à la ferraille les coques défectueuses. Il est cependant jugé plus judicieux, sur le plan économique, de les vendre à la Luftschutz, à un prix de 386,47 RM les 100 pièces. Chaque partie de la coque du casque est naturellement vérifiée. Les composants inadéquats sont triés. Quelques lots sont aussi livrés à la police civile (Bürgerpolizei).
Ces coques rejetées (Ausschußkalotten) sont des trois types de SH35 (M35, M40 et M42).
Ont également reçu un tore, des casques isolés faisant partie d'un lot accepté. Ces coques se sont révélées défectueuses à l'usage et ont été réparées. Munies d'un tore et d'une coiffe LS, elles ont été réaffectées à des services civils.
Les cas les plus fréquents sont des coques fissurées, rebouchées à la soudure.
![]() SH35/40. |
![]() SH35/42. |
![]() Exemple d'emboutissage défectueux. |
![]() Fissure rebouchée à la soudure. |
![]() Cas similaire (l'insigne est une copie). |
Réalisation du tore.Pour éviter les confusions avec des coques acceptées au contrôle, qui seront livrées à la Wehrmacht, l'usine de fabrication marque extérieurement les Ausschußkalotten au bas de la bombe, avec un tore.
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![]() Schéma de fonctionnement. |
Marquages et peinture.
Les marquages étant estampés sur les flans d'acier avant l'emboutissage, les coques rejetées sont déjà marquées de façon identique aux coques acceptées. On se rend compte en compulsant les travaux de B. Ice que les marquages s'imbriquent parfaitement dans la séquence des lots. On remarque aussi que certains lots sont rejetés en entier, d'autres seulement en partie.
Quelques exemples :
![]() SH35 rejet isolé. |
![]() Les cinq premiers lots (01 à 05) de SH35/40 de l'usine EF, ont été |
![]() intégralement rejetés. |
![]() SH35/40 lot partiellement rejeté. |
![]() SH35/40 lot partiellement rejeté. |
![]() SH35/42 QvL lot non répertorié. |
En ce qui concerne la peinture, la note du 17 janvier 1939 prévoit que les casques de la Luftschutz, de tous modèles, soient peints en bleu foncé mat (dunkelblaumatt RAL 33)
Un certain nombre de casques seront reconditionnés par la suite en gris moyen lisse et fin 1944 la couleur réglementaire deviendra le gris-bronze satiné.
![]() Bleu foncé mat. |
![]() Gris moyen lisse. |
![]() Gris-bronze satiné. |
Insignes.
![]() Insigne de la RLB jusqu'en 1938. |
Jusqu'en 1938, l'insigne de la RLB, en décalcomanie, figure sur l'avant des différents casques qu'elle utilise. Avec l'apparition du M38, un Hoheitsabzeichen (insigne de souveraineté) spécifique est créé par la note du 10 octobre 1938. Il doit être apposé sur le front des nouveaux casques (M38), comme sur les anciens. L'insigne de la RLB ou tout autre insigne, sont désormais proscrits. |
![]() Hoheitsabzeichen créé par la note du 10 octobre 1938. |
![]() Hoheitsabzeichen en place. |
Lorsqu'en juin 1942, les unités fixes de 1er rang du SHD sont transférées à l'Ordnung Polizei, sous le nom de police de protection aérienne (Luftschutzpolizei : LSP), Himmler leur adresse un ordre du jour. On y lit notamment ceci :
"Je me réjouis que vous soyez engagés avec moi, dans le cadre de l'ORPO, dans la grande entreprise de la protection aérienne. À partir d'aujourd'hui, vous porterez le Hoheitsabzeichen de la police."
Toutes les notes postérieures concernant l'uniforme de la LSP, reprennent cette injonction en préconisant de supprimer l'insigne Luftschutz et de munir les casques des insignes de la Feuerschutzpolizei, soit l'aigle de la police à gauche et l'écu du parti à droite. |
![]() SH35/42 de la LS correctement insigné. |
![]() Autre face du même casque. |
![]() SH35/40 de la LSP triple décalcomanie. |
![]() SH35 de la LSP décalcomanies inversés. |
![]() Autre face du même casque. |
La coiffe :
Le système de coiffe adopté est du type 1931 très simplifié, basé sur un cerclage en carton rigide et des dents de loup non ajourées. Il évoluera avec le temps vers une moindre qualité, qui sera l'apanage des M42. La jugulaire est rivetée directement sur le cerclage.
Les variantes étant relativement nombreuses, nous prendrons six exemples parmi les plus fréquemment rencontrés.
![]() Ex. 1 : M35, coiffe à 6 dents en cuir fin. |
![]() Ex. 2 : M40, coiffe à 6 dents en cuir fin. |
![]() Ex. 3 : M40, coiffe à 6 dents en simili-cuir fragile. |
![]() Ex. 4 : M40, coiffe à 9 dents 1/2, en basane fine. |
![]() Ex. 5 : M42, coiffe à 9 dents en grosse toile. |
![]() Ex. 6 : M42, coiffe à 7 dents en grosse toile. |
Les cerclages sont réalisés en carton rigide, ils sont refermés à l'arrière par deux rivets tubulaires. Ils font 3 cm ou 3,5 cm de large. Ils sont de couleurs variées ; les rouges, jaunes ou gris étant les plus rencontrées. Un trou circulaire à l'arrière et deux fentes latérales avant, sont destinées à recevoir les rivets d'attache à la coque.
Le cerclage est relié à la bombe par les mêmes rivets et contre-rivets que sur les casques de combat SH35. Le jeu est rattrapé au niveau de chaque rivet, par un petit rectangle de liège, d'épaisseur adéquate, fixé sur le cerclage. Pour un jeu important le liège peut être en double épaisseur. Le liège est fixé sur le cerclage, généralement, par 2 rivets tubulaires. Dans certains cas, il est agrafé sur le cerclage.
Sur le cerclage, coté tête est cousu un bandeau de feutre de même largeur. Ce bandeau proche de celui des I-31 sur les modèles précoces devient plus fragile en milieu de guerre. Certaines coiffes en sont totalement dépourvues.
Le bandeau festonné en dents de loup est cousu sur l'extérieur du cerclage, puis rabattu sur le feutre. Il est fermé par une couture.
Il est réalisé, au début, en cuir fin, havane. Le simili-cuir blanc en carton compressé fera son apparition au début de la guerre. Il est relativement fragile et les œillets en bout des dents de loup sont souvent arrachés. Ces bandeaux sont de longueur fixe (mais variable d'un fabricant à l'autre) et sont ajustés à la taille du cerclage au moment de la confection. Ils ont en moyenne 6 dents, mais l'ajustage par suppression ou rajout d'un morceau, peut donner de 5 à 7 dents avec souvent une fraction de dent.
Vers le milieu du conflit un bandeau en forte toile écrue fait son apparition. Il a un nombre plus conséquent de dents, 9 en moyenne, et peut aller par le biais des ajustages de 7 à 10 dents. La partie frontale est percée de petits trous anti-oppression. Ce type de coiffe se retrouve de fait, surtout sur les M42. A noter qu'il existe de rares cas de coiffes à 9 dents en cuir.
La jugulaire est inspirée de celle du casque SH35 mais en plus léger. Elle est en deux parties, chacune étant fixée directement sur le cerclage par un ou deux rivets tubulaires.
La partie gauche enchape une boucle à ardillon du même type que les casques SH35. La partie droite est perforée pour recevoir l'ardillon. Il y a plusieurs variantes, nous retrouverons les deux principales dans nos exemples ci-dessous.
Dans la deuxième moitié de la guerre apparaît une jugulaire en matière plastique translucide (Supronband). La boucle est en deux parties indépendantes enchapées ensemble.
On trouve aussi, de façon isolée, des jugulaires diverses provenant de casques de pompiers voire de casques "Gladiator" M38.
Exemple 1.
Sur une coque M35, Q62, coiffe taille 56, six dents de loup en cuir havane. Tampons en une seule feuille de liège, fine.
Le cerclage de 3,5 cm de large est en carton rouge orangé. Le feutre a disparu, ne reste que sa couture. Les tampons de liège sont retenus par deux rivets tubulaires disposés en quinconce.
La jugulaire est en cuir noirci, perforée de 13 trous d'ardillon et à boucle rectangulaire chromée.
![]() Fixation latérale à la coque entourée des rivets retenant le liège. |
![]() Idem à l'arrière, plus rivets de fermeture du cerclage. |
![]() Rivet jugulaire avec au dessus 2 coutures : cuir et feutre. |
![]() Dent de loup avec marquage taille. |
![]() Cuir havane fin. |
![]() Couture arrière du cuir. |
![]() Tampon de feutre, épaisseur : fine. |
![]() Partie gauche : Boucle, dessus. |
![]() Partie gauche : Boucle, dessous. |

Partie droite.
Exemple 2.
Sur une coque M40, Q64, coiffe taille 57, six dents de loup en cuir havane. Tampons en une seule feuille de liège, fine.
Le cerclage de 3,5 cm de large est en carton gris. Le feutre est présent. Les tampons de liège sont retenus par deux rivets tubulaires disposés en quinconce.
La jugulaire est en cuir naturel, perforée de 8 trous d'ardillon et à boucle arrondie grise.
![]() Fixation latérale à la coque entourée des rivets retenant le liège. |
![]() Idem à l'arrière, plus rivets de fermeture du cerclage. |
![]() Rivet jugulaire sous le feutre. |
![]() Dent de loup avec marquage taille. |
![]() Cuir havane fin. |
![]() Couture arrière du cuir. |
![]() Tampon de feutre, épaisseur : fine. |
![]() Partie gauche : Boucle, dessus. |
![]() Partie gauche : Boucle, dessous. |

Partie droite.
Exemple 3.
![]() Double tampon de liège. Latéral. |
![]() Double tampon de liège. Arrière. |
Sur une coque M40, Q66, coiffe taille 57, six dents de loup en simili-cuir blanc fragile plus un raccord de cuir au niveau de la fermeture du bandeau. Tampons en deux épaisseurs de liège. |
![]() Fixation latérale à la coque entourée des rivets retenant le liège. |
![]() Idem à l'arrière, plus rivets de fermeture du cerclage. |
![]() Rivet jugulaire. Le feutre est très usé. |
![]() Dent de loup. Le simili-cuir est très cassant. |
![]() Simili-cuir blanc (carton pressé). |
![]() Pièce de simili supplémentaire pour obtenir la longueur voulue. |
Exemple 4.
Sur une coque M40, coiffe à neuf dents de loup et demie en basane fragile. Tampons en une seule feuille de liège, fine. |
![]() Arrière du cerclage, le liège est agrafé. |
![]() Passant coulissant de jugulaire additionnel. |
![]() Dent de loup. |
![]() Fine basane fragile. |
![]() La taille désirée a necessité une demi-dent supplémentaire. |
Exemple 5.
Sur une coque M42, qvl 66, coiffe à neuf dents de loup en grosse toile écrue. Tampons en une seule feuille de liège, assez épaisses.
Le cerclage de 3,5 cm de large est en carton rouge quadrillé. Le feutre est fin. Les tampons de liège sont retenus par deux agrafes.
La jugulaire est en matière plastique translucide (Supronband), perforée de 8 trous d'ardillon et à boucle en deux parties.
![]() Fixation latérale à la coque entourée des agrafes retenant le liège. |
![]() Idem à l'arrière, plus rivets de fermeture du cerclage. |
![]() Rivet jugulaire. |
![]() A l'avant, perforations anti-oppression. |
![]() Forte toile écrue. |
![]() Couture arrière. |
![]() Tampon de liège de forte épaisseur. |
![]() Partie gauche : Boucle en deux éléments, dessus. |
![]() Partie gauche : Boucle en deux éléments, dessous. |

Partie droite, le recto et le verso sont identiques.
Exemple 6.
Sur une coque M42, NS64, coiffe taille 56 à sept dents de loup en grosse toile écrue. Tampons en une seule feuille de liège, fine.
Le cerclage de 3 cm de large est en carton beige. L'absence de couture correspondante montre qu'il n'y a jamais eu de feutre. Les tampons de liège sont retenus par deux rivets tubulaires disposés en quinconce.
La jugulaire est en matière plastique translucide (Supronband), perforée de 8 trous d'ardillon et à boucle en deux parties (Cf. exemple 5). Elle est fixée au cerclage par deux rivets au lieu d'un.
![]() Fixation latérale à la coque entourée des rivets retenant le liège. |
![]() Idem à l'arrière, plus rivets de fermeture du cerclage. |
![]() Double rivet de jugulaire, une seule couture. |
![]() A l'avant, perforations anti-oppression, taille. |
![]() Dent de loup et tampon d'appartenance (illisible). |
![]() Couture arrière du bandeau de toile festonné. |
Exemples atypiques
![]() M40 muni d'une coiffe provenant d'un M38 à 4 rivets. |
![]() Pour l'adaptation au M40, un 5ème trou a été pratiqué à l'arrière du cerclage. |
![]() Coiffe à dents perforées style I-31. |
![]() Une bande de toile est insérée entre le feutre et le cuir. |
![]() Boucle chromée plate. |
![]() Coiffe à 7 dents en cuir. |
![]() Jugulaire de récupération. |
![]() Marquages. |